J’ai lu le 17 juin à la Trézorerie, une ancienne imprimerie strasbourgeoise reconvertie en lieu de spectacle et de lecture et d’expositions, ma NUDITE DU PELERIN. L’un de mes derniers textes. Naissance, cheminement, beauté dans la Nuit et mort. Et puis l’Enfant rayonnant.

J’ai lu aussi un poème du grand auteur portugais Herberto Helder.

C’était en hommage à l’artiste Anne Muller-Lassez.

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